Le paradoxe des journalistes 5/5: Le plus beau metier du monde

Published: July 11, 2019, 12:05 a.m.

b'Si les journalistes n\\u2019enqu\\xeatent pas sur eux-m\\xeames, qui le fera ? Dans cet \\xe9pisode 5 d\\u2019Injustices, Clara Garnier-Amouroux interviewe L\\xe9na\\xefg Bredoux (Mediapart), Denis Ruellan (sociologue au Celsa) et Alice Coffin (journaliste ind\\xe9pendante) et comprend que le journalisme n\\u2019a, a priori, pas de garde-fou. Il fonctionne sans commission ni conseil de l\\u2019ordre. Comme les professeur.e.s et les pr\\xeatres, les journalistes sont, selon Denis Ruellan, ce qu\\u2019on appelle des \\u201cdirecteurs de conscience\\u201d. Et il est tr\\xe8s difficile, quand on a ce statut social, et qu\\u2019on est per\\xe7us comme plus capables que d\\u2019autres de distinguer le bien du mal, de se regarder dans le miroir et d\'admettre ses failles, ses erreurs.


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