Marie-Caroline Heydenreich dans les coulisses du projet “mi casa es tu casa”

Published: June 25, 2018, 7:44 p.m.

C'est Marie-Caroline Heydenreich que vous venez d'entendre. Les sites web Airbnb, le bon coin ou gens de confiance vous connaissez ? Marie innove en créant "mi casa es tu casa". Au départ un simple groupe Facebook mise en relation les personnes à la recherche de biens immobiliers. Avec plus de 20000 membres au compteur, l'idée d'en faire un business n'a pas échappé à Caroline. Et pour cause, elle n'en est pas à son 1er projet en tant qu'entrepreneure. Elle semble avoir trouvé avec micasaestucasa le projet nomade qu'elle pourra transporter à chaque expatriation. Quel modèle économique a-t-elle choisi sans toucher à l'ADN de son projet ? Quelle est sa vision de l'expatriation ? Marie-Caroline et les coulisses du projet micasaestucasa, c'est l'épisode 31 ! Tu as créé fin 2015 un groupe facebook, "mi casa es tu casa" pour faciliter la mise en relation de personnes qui louent, vendent ou veulent échanger leur appartement ou maison aux 4 coins du monde. Comment t'es venue cette idée ? 01:13 Au bout de 2 ans, le groupe a dépassé les 20000 membres. C'est à ce moment-là que tu as senti qu'il pourrait y avoir un business derrière cette simple idée de mise en relation. Le groupe Facebook est devenu un site Internet. Comment as-tu choisi ton modèle économique ? 01:58 Combien ça coûte pour un utilisateur ? Relation dématérialisée peur de se faire arnaquer, pourquoi je passerai par "mi casa es tu casa" ? 03:26 Pour toi c'est un projet à part entière, combien ça t'a coûté ? 05:00 A l'heure où cette interview est diffusée tu déménages de Londres pour le Gabon. Comment envisages-tu la suite de ce projet ? 07:53 Micasaestucasa ce n'est pas ton 1er projet en tant qu'entrepreneur. Avant de quitter Paris, tu avais déjà monté avec un collègue une agence de RP, qui a rencontré un certain succès. Alors pourquoi être partie en expatriation ? La 1ère fois en Angola. 09:25 Ça doit être un choc de passer d'une vie parisienne à une vie en Angola ou au Congo... Tu me racontais que vous viviez presque coupés du monde... 10:46 Comment c'était la Colombie, viviez-vous moins en vase-clos ? Qu'est-ce que tu as aimé moins aimé ? 12:41 Au final, l'Expatriation t'a permis de te recentrer sur ta vie familiale. Mais ton esprit d'entreprendre ne t'a pas quitté et tu as fondé ensuite en Colombie une marque de vêtements Marinocéros. Tu n'avais jamais créé de marque de vêtements auparavant. Pourquoi t'être lancée dans l'aventure ? 13:35 Quand on crée un business et qu'on est susceptible de repartir, on peut se poser la question: est-ce que je le fais ou pas... L'entourage n'est pas toujours bienveillant à cet égard... (qu'est-ce que tu vas en faire après). Qu'est-ce qui a été ton moteur dans ce projet ? 16:38 Un nouveau départ se profilait. A Londres cette fois. Tu as décidé de vendre la marque. Décision difficile j'imagine. Finalement, "mi casa es tu casa" c'est un projet que tu vas pouvoir emmener avec toi. Est-ce que c'est un objectif que tu t'es fixé de te construire une carrière nomade ? 17:37 Si tu pouvais monter dans la Doloréane de retour vers le futur et donner des conseils à La Caroline d'il y a 8 ans, tu lui dirais quoi. Quels conseils tu aurais aimé recevoir ? Qu'est-ce que tu aurais fait autrement si tu avais su ? 20:07 Qu'est-ce que tu dirais à celles qui nous écoutent et qui tournent en rond dans leur expat ? 20:55 Et à ceux qui sont en France et qui hésitent à partir ? 21:55 Pour soutenir le podcast, RDV sur https://www.tipeee.com/expat-heroes