Même si les questions politiques et la présence des Etats dans les zones touchées par les activités djihadistes ont été évoquées, l’option militaire reste prédominante. La France a exclu, dans l’immédiat, une réduction de ses troupes au Sahel, alors que le Tchad annonce l’envoi de 1.200 soldats dans la zone dite « des trois frontières ». Pour une analyse, Abdourahmane Dia a joint à Abidjan, l’écrivain et chercheur sur le terrorisme dans le Sahel Seidik Abba