Chanter la connerie, c'est tout un art

Published: Oct. 22, 2020, 3 a.m.

A l’occasion de la sortie au cinéma de la nouvelle comédie explosive d’Albert Dupontel, Adieu les cons, en salles depuis le 21 octobre, cette semaine, Puzzle enfile ses palmes, son masque et sa combinaison et plonge la tête la première dans la piscine sans fond de la connerie humaine. Attention, aux éclaboussures... Et dans cet épisode, Julien Bordier va nous montrer, preuves à l'appui, qu'il n'est pas si simple que ça de chanter sur les cons.


Des cons de tous les genres

Il peut être “sombre”, “sale” ou “beau”, voire “intégral”, “petit” ou “gros”, “jeune” ou “vieux”, suivant l’affection qu’on lui accorde. Il avance parfois en bande, se regroupe en tas, il est comparé parfois à la lune ou à un balai, mais une chose est sûre, comme le chantait Brassens, "le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est con, on est con" !


Tour d'horizon des cons dans la chanson

Et des cons, il n'en manque pas, surtout dans la chanson... Alors de Brassens à Renaud, aux rappeurs ICO ou Orelsan, nous vous proposons un petit tour d'horizon des cons dans la chanson française. Et vous allez voir que chanter la connerie, c'est tout un art !


Retrouvez tous les épisodes de cette semaine spéciale cons ici : 

Comment Albert Dupontel perçoit-il notre société et les cons qui la composent ?

"Ted, drôle de coco" : les cons sont-ils toujours ceux qu'on croit ?

Le con, une espèce indémodable au théâtre


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