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La vie c\'est comme une pile de fringues, il y a des hauts et des bas, des mati\\xe8res qui brillent et d\'autres qui grattent, des pi\\xe8ces qu\'on sort pour les grandes occasions et des classiques qui nous accompagnent au quotidien. Il y a ces v\\xeatements qu\'on abandonne en boule dans un coin, us\\xe9s \\xe0 force de les mettre, et ceux qu\'on garde religieusement sur un cintre, dans leur housse d\'origine, de peur de les ab\\xeemer. Et puis parfois, on a ce besoin visc\\xe9ral de se foutre \\xe0 poil, de faire tapis, de tout envoyer balader, de dire adieu \\xe0 ces secondes peaux, \\xe0 ces armures, \\xe0 ces masques.

Que ressort-il de ce nudisme intellectuel, de cet effeuillage c\\xe9r\\xe9bral ?

C\\u2019est ce que nous allons voir avec mon invit\\xe9e du jour : Julie Brunet, aussi connue sous le nom de Datacitron. Data designer le jour, chasseuse de vampires la nuit, rien ne lui r\\xe9siste. Pourtant, sous ses airs de machine de guerre, Julie dissimule une phobie des plus \\xe9tranges, celle des galeries d\\u2019art contemporain. Dans cet \\xe9pisode, nous tentons donc de d\\xe9passer cette peur, ensemble, main dans la main. J\\u2019emm\\xe8ne Julie \\xe0 la d\\xe9couverte d\\u2019un monde que je connais bien, je la pistonne pour se faire une place dans ce cercle ferm\\xe9.

Pour d\\xe9couvrir et suivre le travail de Julie, rdv sur son compte Instagram : @datacitron.

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