Le Portrait In Jazz de Joël Dicker

Published: May 27, 2020, 5 p.m.

Vous êtes né à Genève d’un père enseignant et d’une mère libraire, vous grandissez dans la capitale hélvétique, à 10 ans, vous fondez la Gazette des animaux que vous publiez jusqu’à votre majorité, que vous passez à Paris au Cours Florent avant de retourner à Genève étudier le droit dont vous sortez diplômé à 25 ans, l’année de votre premier roman, Les derniers jours de nos pères, deux ans plus tard en 2012 vous publiez aux éditions Le Fallois La vérité sur l’affaire Harry Quebert qui laisse tout le monde pantois et c’est l’explosion, vous obtenez le Grand Prix de l’Académie Française, puis le Prix Goncourt des lycéens ainsi que le Prix Littéraire de la Vocation, plus de 3 millions d’exemplaires étaient vendus en 2015, année de la sortie du Livre des Baltimore, suivi en 2018 par La disparition de Stephanie Mailer, vous publiez aujourd’hui même, toujours chez Fallois, L’énigme de la chambre 622, plus aucun doute possible, vous êtes… Joël Dicker… et vous aimez le jazz !   Playlist :    Lester leaps In, Oscar Peterson Blue rondo à la Turk, Dave Brubeck I’d rather go blind, Etta James Unicorn in captivity, Daniel Humair Saint Louis Blues, Max Roach In a Sentimental Mood, Duke Ellington, John Coltrane Caravan, John Wasson Tutu, Marcus Miller, Michel Petrucciani Distant Lover , Marvin Gay Looking Up, Michel Petrucciani