Tropical Club #53 // 10.06.17

Published: June 11, 2017, 9:30 p.m.

Ne cherchez aucune signification autour du numéro 53. C'est le numéro de l'épisode du Tropical Club que vous vous apprêtez à écouter à votre bureau, en costume. Ou dans votre chambre, nu comme un ver. Et attention si vous avez inversé les tenues. Votre mère ne comprendrait pas le port du costume à l'intérieur de la maison. C'est dans un ciel bleu et rose, façon riso, que George et Andy ont préparé cette playlist. Ils vous ont programmé des classiques des années 60, 70 et 90. Ils ont aussi trouvé des titres d'aujourd'hui, comme la talentueuse artiste Mexicaine, Jazmin Solar. La programmation aura aussi une teinte Brooklyn avec le duo de Collapsing Scenery. Et peu importe le millésime finalement, car comme le chantait Jean-Jacques Goldman :Quand la musique est bonne, Quand la musique sonne,  Quand elle ne triche pas...Mais que serait le Tropical Club sans eux... Jean-Kevin tente chaque semaine de vous trouver un titre tropical, à l'abri d'un parasol à cocktail. Il semble que cette semaine, c'est aussi sous la protection des seins de l'Italo-Disco des années 80 qu'il ait trouvé un abri. Quant à Xavier le plagiste, il récupère toujours les sacs en toiles de jutes des P.T.T des années 80. Il jure ses grands dieux que c'est pour fabriquer des hamacs. La rumeur raconte une toute autre histoire : il les volerait dans les caves des studios de la Plaine Saint-Denis où se trouvait les studios du Club Dorothée.La playlist :Beastie Boys - Sure ShotDr Jerky and Mrs Hives - HigherLa pépite tropicale de Jean-Kevin : Sabrina - Hot GirlThe Beach Boys - Roller skating childLa "dédicasse" des auditeurs par notre plagiste Xavier : Lords of Acid - Marijuana in your brainJazmin Solar - MarylinSerge Gainsbourg - S.S. in UruguayCollapsing scenery - Straight world problems (Oliver Mix)La cover de la semaine  : Eddy Mitchell - La Mer (version originale de Charles Trenet)Et comme le disait ce bon vieux Warren Buffet qui est pas le dernier pour une danse de l'indien :C'est lorsque que la mer se retire que l'on voit ceux qui nageaient sans maillot