Stanley Clarke, un bassiste qui sait s'amuser

Published: June 30, 2020, 4 a.m.

b'Lorsque le bassiste Stanley Clarke, n\\xe9 le 30 juin 1951,\\xa0 a vu les Rolling Stones pour la premi\\xe8re fois \\xe0 la t\\xe9l\\xe9vision, il a trouv\\xe9 que Bill Wyman avait l\'air de bien s\'ennuyer au fond de la sc\\xe8ne\\u2026 Pas du tout sa conception du r\\xf4le du bassiste : "En tant que bassiste, on peut vraiment s\\u2019amuser. Fonder nos groupes, \\xe9crire de la musique... Pour garder la fra\\xeecheur, il faut toujours explorer la basse, et c\\u2019est le projet d\\u2019une vie. Il faut la voir comme un violoniste voit son instrument. C\\u2019est un travail sans fin.\\u201d A l\'occasion de son 69e anniversaire, on c\\xe9l\\xe8bre donc ce matin le l\\xe9gendaire complice de Chick Corea dans Return To Forever. br />\\nMais dans les Matins Jazz, on se souvient aussi du compositeur et arrangeur Johnny Mandel ; on prend des "consultations po\\xe9tiques" au Th\\xe9\\xe2tre de la Ville, \\xe0 Paris ; on visite le Mus\\xe9e de la Sacem qui f\\xeate ses deux ans ; et on met dans notre "valise des vacances" le DVD/Blue Ray du film "Judy" et l\'abum inclassable de Philippe Dupuy "J\'aurais voulu faire de la bande-dessin\\xe9e" (Ed. Futuropolis).'