Karel Appel, peintre jazz
b'"Je suis un peintre de mon \\xe9poque. Je peins la vie telle qu\'elle se d\\xe9roule autour de moi. Dure, vivante, belle, cruelle, formidable\\u2026 Tout. Je suis n\\xe9 entre deux guerres mondiales. Alors je\\xa0peins la sauvagerie de mon \\xe9poque. Tout le reste m\'ennuie." Le N\\xe9\\xe9erlandais Karel Appel,\\xa0n\\xe9 le 25 avril 1921, cofondateur du mouvement CobRa, a d\\xe9couvert le jazz dans les clubs new yorkais\\xa0\\xe0 la fin des ann\\xe9es 50, trouvant dans ce style l\'expression musicale de sa peinture. On le voit peindre "jazz" dans un court film intitul\\xe9 "The reality of Karel Appel", au son de la trompette de son ami Dizzy Gillespie.\\n\\xa0\\nDans ces Matins Jazz, on c\\xe9l\\xe8bre aussi le clarinettiste Jimmy Giuffre, \\xe0 l\'occasion du centenaire de sa naissance, on se souvient du l\\xe9gendaire concert de Judy Garland il y a 60 ans au Carnegie Hall, on se penche sur le travail tr\\xe8s engag\\xe9 du producteur de hip hop et prof de droit Adrian Younge et on se r\\xe9gale de l\'\\xe9dition limit\\xe9e en vinyle couleur de "A boy named Charlie Brown", du pianiste Vince Guaraldi, \\xe0 l\'occasion du Disquaire Day 2021.'